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Et si j'aurais tué Adolphe

7 avril 2017

Et si j'aurais tué Adolphe

                     

 

Ce blog est conçu pour faire découvrir le roman de Marcq Morin.

Et si j’aurais tué Adolphe

Un petit livre dans l’actualité du centenaire de la Grande Guerre.

Format numérique sur: http://www.librinova.com/librairie/marcq-morin/et-si-j-aurais-tue-adolphe

Format papier : commander sur editionsdugeant@gmail.com

 

Résumé du roman :

L’histoire se passe lors de la première guerre mondiale, dans une famille ouvrière. La maison est occupée par des militaires allemands. La fillette trouve un ami en la personne de Heinz, un « bochevique », quand survient un dénommé Adolphe qui prend ses quartiers dans la maison. 

Le récit raconté d’une voix enfantine, avec ses fautes de français, devient poignant au fur et à mesure qu’il se découvre sous le regard innocent de l’enfance.

On découvre qu’Adolphe Hitler fut cantonné lors de la Grande Guerre non loin de Lille. Il servait comme caporal  et portait à vélo les messages entre le quartier général et le front.

Adolphe Hitler a effectué plusieurs tableaux représentant des lieux et des paysages du Nord.

Présentation du roman

Ce petit livre, de la taille d’une novella, est une fiction basée sur des faits réels. Adolphe Hitler a bien été cantonné chez l’habitant en 1917 dans un village à l’arrière du Front où il était porteur de lettres. Il passé son temps libre à peindre des tableaux de la région.

La légende voudrait qu’il ait eu un enfant avec une villageoise. Cette histoire m’a été contée par un petit vieux à la tête de santon dont je n’ai connu que le prénom : Honoré. Il m’a dit avoir été le voisin d’Adolphe.

Les enquêteurs d’après guerre nient le fait. Un fils d’Hitler français ! Ça fait tache… Pourtant les Anciens habitants du lieu y croient dur comme fer. Alors, j’ai fait œuvre de romancier, j’ai utilisé la légende…

Pour ce qui est des conditions de l’occupation allemande dans le nord de la France, je les ai entendues décrites par mon arrière-grand-mère qui avait un talent de conteuse dont j’ai usé.

 

Aujourd’hui, l’évocation de la Grande Guerre commence à faire long feu. Mais ce sont surtout les faits militaires qui ont primé. La fin du centenaire se terminant en 18, je pense que l’on va peut-être enfin s’intéresser au sort des Français du Nord occupé par les Allemands. C’est une vision différente de la Grande Guerre : l’arrière du front est toujours traité du côté de la France non occupée. Or, il y a eu en 14-18 des français sous domination allemande qui ont souffert. La résistance des gens du Nord et des Belges est quasi ignorée. Elle fut malheureusement réprimée dans le sang par des fusillades de population en séries qui ne sont pas entrées vraiment dans l’histoire. Malheur aux vaincus. Qui connait encore le nom de Louise de Bettignies, autrement que parce qu’à Lille une place porte son nom ?

 

Les atouts du livre

 

 

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